«Les auteurs de ces actes ont cassé les grilles d'aération pour pénétrer à l'intérieur, éclairé à l'aide de bougies. Ils ont démonté et emporté les capots des transformateurs, les câbles de liaison, les accessoires, les relais bardins, les prises, les lampes, les tipis, les raccordements des terres », ont expliqué les techniciens de la boite.
Quelques semaines après le départ de l’ancien directeur général, Pape Dieng, un ancien de la maison, propriétaire d’une entreprise contractante de la Senelec, les esprits peuvent prendre, tout logiquement ou naïvement sa direction. Je ne l’accuse pas. Loin s’en faut. Mais mon regard le suit dans cette affaire. Ses acteurs, mécontents, peuvent s’y adonner.
Sinon, qui cherche à mettre des bâtons dans les galons de l’ex chef de la douane sénégalaise puis directeur de cabinet du président Macky Sall ? La guéguerre est parfois si sale et si savamment exécutée que les petits cerveaux n’y voient que dalle. L’homme d’un calme charment et d’une compétence reconnue ; peut bien aiguisée des « jalousies ».
11 postes vandalisés, des lampadaires endommagés, des fils électrique lancinants, boitiers détruits ; ce sont les sénégalais, directement ou indirectement, qui vont payer les « postes » cassées. Moi, y compris. Ce sont encore nous, les pauvres, qui vont payer ce que nous n’avons pas détruits. Car qu’il provienne du trésor ou de la Senelec, c’est l’argent du « con-tributable ».
L’incivisme. Finalement, ce ne sont pas que des taximen ou autres conducteurs, sous prétexte que les routes sont inondées, qui empruntent les passerelles dédiées aux piétons. Ce sont aussi d’autres, des connaisseurs de la Senelec, qui peuvent se permettre de détruire des biens publics. Public j’ai dit. Même si c’était des biens privés. Ils méritent du civisme !
Mamadou Lamine BA, citoyen sénégalais, ballamine@gmail.com; 70 203 16 81
Quelques semaines après le départ de l’ancien directeur général, Pape Dieng, un ancien de la maison, propriétaire d’une entreprise contractante de la Senelec, les esprits peuvent prendre, tout logiquement ou naïvement sa direction. Je ne l’accuse pas. Loin s’en faut. Mais mon regard le suit dans cette affaire. Ses acteurs, mécontents, peuvent s’y adonner.
Sinon, qui cherche à mettre des bâtons dans les galons de l’ex chef de la douane sénégalaise puis directeur de cabinet du président Macky Sall ? La guéguerre est parfois si sale et si savamment exécutée que les petits cerveaux n’y voient que dalle. L’homme d’un calme charment et d’une compétence reconnue ; peut bien aiguisée des « jalousies ».
11 postes vandalisés, des lampadaires endommagés, des fils électrique lancinants, boitiers détruits ; ce sont les sénégalais, directement ou indirectement, qui vont payer les « postes » cassées. Moi, y compris. Ce sont encore nous, les pauvres, qui vont payer ce que nous n’avons pas détruits. Car qu’il provienne du trésor ou de la Senelec, c’est l’argent du « con-tributable ».
L’incivisme. Finalement, ce ne sont pas que des taximen ou autres conducteurs, sous prétexte que les routes sont inondées, qui empruntent les passerelles dédiées aux piétons. Ce sont aussi d’autres, des connaisseurs de la Senelec, qui peuvent se permettre de détruire des biens publics. Public j’ai dit. Même si c’était des biens privés. Ils méritent du civisme !
Mamadou Lamine BA, citoyen sénégalais, ballamine@gmail.com; 70 203 16 81